Qui n'aime pas s'arrêter devant une chute d'eau lors d'une randonnée ou effectuer un tour à vélo et laisser ce spectacle naturel faire effet pendant un moment ?
En osant plonger dans l'eau froide ou simplement en profitant de la brise fraîche, d'un pique-nique à deux ou d'une petite sieste, ou encore en prenant une belle photo ou en ressentant l'énorme puissance et la magie de l'eau.
En Suisse, nous avons une variété de chutes d'eau : des grandes, des petites, des romantiques, des mystérieuses, des connues et des moins connues. Mais une visite vaut la peine pour chacune d’elles !
Avec ses 297 mètres, la cascade de Staubbach fait partie des plus hautes chutes d’eau de Suisse. Alors que l'eau du sommet continue de jaillir au-dessus de la falaise avec une puissance concentrée, les gouttes se dissolvent dans le brouillard après un court vol en raison des courants thermique typiques de la vallée de Lauterbrunnen. Ce phénomène naturel fait de la cascade de Staubbach l'une des plus belles chutes d'eau du monde (et l'une des plus photographiées).
En plus de cet exemplaire unique, de nombreuses autres chutes d'eau, grandes et petites, vous attendent dans la vallée de Lauterbrunnen.
Ce paysage est inspirant. De nombreux écrivains, de Goethe à Tolkien, ont écrit des œuvres mondialement connues après avoir visité cet endroit. Ressourcez-vous aussi dans l'Oberland bernois.
Pendant des siècles, le Doubs a creusé profondément la roche et a créé des gorges impressionnantes. Au milieu de ce paysage préservé, encastré dans des forêts de sapins et de feuillus, le Saut-du-Doubs vous attend. Avec ses 27 mètres, c'est la plus haute cascade du canton du Neuchâtel.
Le paysage fluvial du Doubs est sauvage et en grande partie non aménagé. Il est difficile de s’imaginer que la contrebande était très présente dans cette vallée paisible et qu’une grande quantité de montres et autres objets de valeur passaient ici la frontière française.
Le plaisir de déguster une délicieuse truite du Doubs attire également au-delà des frontières du pays. Cette spécialité et tant d’autres ne sont pas à manquer lors d'une visite de la vallée du Doubs.
Les parcs naturels suisses offrent quelque chose pour chacun : une faune et flore diversifiées, des paysages fabuleux, des traditions authentiques et vivantes et de délicieux produits régionaux.
Que ce soit à vélo ou à pied, les parcs suisses méritent toujours une visite - ils vous invitent à découvrir leurs trésors et les merveilles qu’ils regorgent.
La Suisse compte au total 18 parcs différents, chacun d'entre eux étant situé dans une région exceptionnelle et diversifiée. Une expérience inoubliable dans la nature est garantie et vous attend avec des biens culturels caractéristiques.
En 2010, Thal est devenu le premier parc naturel d'importance suisse. Les collines et les forêts du Jura soleurois ont été classées en zone protégée par un référendum cantonal. Une décision qui fait le bonheur non seulement les promeneurs, mais aussi des oiseaux et des animaux car il y a suffisamment de place pour tout le monde dans ces vallées verdoyantes.
Le parc naturel de Thal semble également offrir un habitat idéal à des animaux menacés : une réintroduction de bisons est sur le point de commencer et une population de lynx s’y épanouit avec succès. Les chats sauvages parcourent déjà le parc naturel en grand nombre et contribuent à réguler la population de cerfs et de chamois de manière naturelle.
L'endroit le plus célèbre du parc naturel de Thal est la petite ville de Balsthal, que les randonneurs peuvent visiter au cours du Chemin des crêtes du Jura.
Et le fait que notre employée, Nina Fluri, y a grandi, explique également que le parc naturel de Thal soit l’une de nos destinations préférées en Suisse.
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Assez atypique pour la Suisse qui aspire toujours à l’entente et l’harmonie, l'histoire de la biosphère a commencé par une véritable dispute. En 1987, l'initiative « Rothenturm » visait à classer les marais suisses en zones protégées. Cependant, comme un quart de la superficie de l'Entlebuch est constitué de sites marécageux, les restrictions qui en découlaient ne plaisaient pas du tout aux habitants de la biosphère actuelle.
Heureusement, les habitants de l'Entlebuch ont fait preuve de prévoyance et ont transformé les règlements de protection en un plan d'affaires qui a été continuellement développé au cours des dernières décennies. La première pierre de la biosphère a été posée, qui a été officiellement reconnue par l'UNESCO en 2001 sur la base des critères de Séville.
Le fait que la population d’Entlebuch sache si bien s'affirmer est probablement lié au dialecte local, qui est souvent perçu comme dynamique et vivant. Cependant, le fait que la biosphère soit appelée "le Far West de Lucerne" est dû à la nature intacte et n'a rien à voir avec ses charmants habitants. 😉
Avec des collines aussi verdoyantes, il n'est pas surprenant que le lait du parc naturel du Gruyère Pays-d'Enhaut soit la base du fromage le plus apprécié de Suisse. Le Gruyère AOP a été récompensé à plusieurs reprises comme le meilleur fromage du monde.
Le fait que le fromage soit populaire depuis longtemps est démontré par des bâtiments tels que le Grand Chalet de Rossinière. Comme il fallait une cave à fromage suffisamment grande pour l'affinage et le stockage, la construction est devenue quelque peu obsolète. La cave devait accueillir 600 meules de fromage, ce qui donnait une surface de 500 m2. Mais le bâtiment bat également tous les records en surface : cinq étages, 113 fenêtres et une dédicace avec 2 800 lettres peintes sur la façade font de ce bâtiment fondamental un point de repère absolu dans le parc naturel. Mais c'est aussi un bon exemple pour inciter à partir explorer les profondes vallées du parc. Pas moins de huit villages figurent dans l'inventaire des paysages urbains suisses dignes de protection.
Le parc lui-même a obtenu le statut de parc naturel régional en 2012. Afin que cette réussite se poursuive à l'avenir, la zone du parc va être agrandie. En 2022, quatre nouveaux membres rejoindront la famille des parcs en plus des 13 communes existantes dans le parc naturel : Jaun, Corbeyrier, Gruyères et Abländschen.
La Suisse possède une variété unique de palais et de châteaux forts. Certains sont encore très bien conservés et peuvent être admirés au cours d'une nuitée dans l’hôtel du château ou pendant la visite du musée, tandis que d'autres ne sont plus que des ruines.
Derrière chacun de ces murs se cache une histoire avec des trésors dissimulés, de grands événements, des actes héroïques et des expériences fascinantes. Qui n'a pas déjà rêvé de vivre dans un château et d'être un chevalier ou une princesse ?
Certains de nos séjours proposent de vous amener par la magie du passé dans un voyage inoubliable dans l’histoire d’un autre temps.
Le château a été construit par les barons de Strättligen. Cette noble famille est originaire de Wädenswil, mais les seigneurs connaissaient apparemment les plus beaux endroits en Suisse ! Situé sur une péninsule et entouré de vignes, le château de Spiez est aujourd'hui l'un des bâtiments les plus pittoresques de Suisse.
Le château ne convainc pas seulement de l'extérieur : chaque année, une exposition d'art y est présentée, avec des œuvres de Dürrenmatt décorant les murs historiques en 2020. L'intérieur du château invite à rêver. Les stucs rappellent l'Italie et montrent des scènes d'autrefois où des scènes de chevaliers et de la noblesse semblent pendre vie.
Avec une promenade dans les parcs du château on se sent comme au Moyen Age. Les adultes profitent de la roseraie ou de la vue depuis la terrasse, les petits se rendent sur le sentier des chevaliers et passent des épreuves, afin de recevoir à la fin l’adoubement.
L'emblème de la Basse-Engadine était une véritable pomme de discorde dans les temps anciens. L'évêque de Coire a revendiqué à plusieurs reprises la propriété de ce bâtiment, ce qui, selon le propriétaire actuel, a provoqué des litiges avec les maisons nobles autrichiennes ou italiennes.
Comme si souvent dans le passé, les Habsbourg ont finalement obtenu les droits du château et cette noble famille a donc vécu pendant de nombreuses années dans les plus de 100 pièces du château de Tarasp. Ce n’est qu’en 1803, que Tarasp, comme dernière enclave autrichienne, est devenue la propriété de la Suisse.
Mais le canton ne savait pas quoi faire de ce bâtiment délabré et le château a donc changé plusieurs fois de propriétaire pour une poignée de francs.
Le château doit son aspect actuel à un industriel allemand. Karl August Lingner a fait rénover le château, car il voulait l'offrir au roi de Saxe après sa mort. Mais l’obligation de devoir passer chaque année des vacances au château de Tarasp inscrite dans le testament, n’a pas plu au roi qui a donc refusé cet héritage.
Le château de Tarasp est passé de main en main parmi la noblesse allemande pendant plusieurs années, jusqu'à ce qu'il soit finalement vendu à la municipalité de Tarasp pour plusieurs millions de francs en 2016.
-SwitzerlandTourism-By-Line-swiss-image.ch-Markus-Buehler-Rasom.jpg "Collégiale St. Pietro e Stefano Bellinzona")
Les Milanais appelaient la vallée du Tessin "la clé et la porte" de l'Italie, et pendant de nombreux siècles, ils ont attribué une grande importance stratégique à ce carrefour. Les effets de ce phénomène sont aujourd'hui visibles avec les châteaux de Castelgrande, Montebello et Sasso Corbaro. Ces fortifications ont permis de contrôler plusieurs cols et routes commerciales au sud des Alpes. C'est pourquoi des agrandissements de grande envergure ont été mis en place.
Alors que les Suisses, les Italiens ou les Français se sont battus à tour de rôle pour le contrôle des forteresses, le calme s’est installé à l'intérieur des murs défensifs au moment où la région est passée à la Confédération. Les années passaient et les châteaux ont été laissés abandonnés.
Ce n'est qu'au début du XIXe siècle que des travaux de rénovation et d'entretien ont commencé ce qui a porté ses fruits : en 2000, les châteaux de Bellinzone, en tant qu'exemples de fortifications médiévales, ont été élevés au rang de patrimoine mondial de l'UNESCO. Aujourd'hui, les châteaux de Bellinzone veillent à nouveau sur la vallée du Tessin avec leur ancienne gloire.
Une randonnée à la découverte de ces murs historiques est un incontournable lors de chaque visite au Tessin et fait donc partie des nombreuses excursions à vélo et de randonnée proposées par Eurotrek.
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Avec ses nombreux lacs, rivières et ruisseaux, la Suisse est considérée comme le château d'eau de l'Europe.
Les plus beaux chemins de randonnée et de cyclisme mènent le long des cours d’eau à travers des paysages idylliques et vers de charmants villages et villes. Les eaux sombres ou turquoise des lacs vous invitent à vous attarder et à vous baigner pendant les jours de grande chaleur. Le reflet des paysages sur la surface de l'eau et le scintillement des lacs et des rivières rendent chaque instant magique.
Certaines de nos plus belles vacances actives vous mènent à la découverte de ces petits bijoux. Plongez dans un voyage inoubliable et laissez votre esprit se détendre.
Si vous montez aux lacs de Murg, vous traverserez des paysages variés. Cela commence par les petits alpages Mornen et Guflen, par lesquels on atteint, après une courte randonnée, une réserve protégée d’aroles avec des arbres anciens. Aucun bois n'a été abattu ici depuis des décennies - le paysage a d'autres trésors à offrir. C’est ainsi que la truite du Murgsee, dont la chaire ressemble à celle du saumon, est devenue une spécialité régionale.
Outre les délices culinaires dégustés dans l'auberge de montagne au bord du lac central de Murg, le paysage rappelle la nature sauvage canadienne. Les lacs de Murg se trouvent sur le Haut lieu tectonique Sardona, inscrit au patrimoine mondial de l'UNESCO, en raison de son mélange exceptionnel de roches nouvelles et anciennes. Le chevauchement principal des « Glarner » montre sur une longueur de 40 kilomètres comment les sommets alpins se sont empilés. Vous pouvez découvrir la formation des montagnes de près lors d'une visite aux lacs de Murg.
Au lac supérieur, vous atteignez enfin la cabane du Murgsee (Murgseehütte). À l'origine, elle était utilisée comme entrepôt pour l'extraction du minerai - aujourd'hui, les randonneurs fatigués peuvent s’y reposer tout en profitant de la vue formidable sur les sommets environnants.
Si l'on y regarde de plus près, à partir de Coblence, le Rhin devrait porter le nom de sa sœur plus volumineuse, car l'Aar transporte beaucoup plus d'eau à son confluent que son petit frère. La raison qui explique que le Rhin porte son nom jusqu'à son embouchure dans la mer du Nord, est probablement dû au fait qu'il s'agissait d'une route commerciale bien connue, utilisée par les Romains, et que son nom était déjà noté sur de nombreuses cartes lorsque l'erreur a été constatée.
L'Aar peut supporter cette injustice - elle est donc restée un secret d'initié en dehors de la Suisse et montre sa beauté surtout aux cyclistes locaux, qui peuvent suivre son parcours sur plusieurs jours.
L'Aar prend sa source dans la région du Grimsel, d'où elle cherche son chemin à travers des vallées et des gorges escarpées jusqu'aux gorges de l'Aar. Là, son mugissement provoque d'abord l'étonnement, avant de redevenir plus calme. Après un détour par les lacs de Thoune et de Brienz, la rivière se transforme en cours d’eau féérique dans les plaines inondables de l'Aar, avant de faire le tour de la vieille ville de Berne. Pour se protéger des inondations, l'Aar a été déviée vers la région des trois lacs près d'Aarberg, avant de rejoindre la Reuss et la Limmat et de finalement s’écouler dans le Rhin.
Le Maderanertal était autrefois appelé "Ruplettental", ce qui signifie "rude et stérile". La vallée était apparemment si inhospitalière et le sol si difficile à travailler, qu’on en vint à parler de malédiction. Apparemment, les fermiers de l'Alp Blindensee auraient maudit l'herbe par paresse, car la traite constante des vaches leur causait trop de travail.
Aujourd’hui, ces légendes sont oubliées et le Golzernseeli au pied du « Grosser Windgällen » se présente comme dans un conte de fées.
Si vous n'avez pas mangé trop de myrtilles dans les différentes tavernes de montagne, il est même possible de sauter dans l'eau fraîche à 1’400 mètres d'altitude en été. Tout au plus, vous devriez avoir un peu de considération pour les pêcheurs qui aiment laisser balancer leurs cannes à pêche dans l'eau. Le Golzernsee est facilement accessible en téléphérique depuis le fond de la vallée. L'approche du Maderanertal est un peu plus difficile : la route exigeante vous coûtera quelques gouttes de sueur.
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Partir en voyage à la montagne est un classique en Suisse. Notre magnifique panorama montagneux, avec ses vues profondes et larges, est tout simplement d’une beauté indescriptible.
Qu'il s'agisse de petites randonnées ou de grandes ascensions de sommet ; chaque montée en vaut la peine et est récompensée par une vue unique. Le sentiment de liberté et les émotions qui en découlent aident à oublier un instant le stress quotidien.
Les trois sommets suivants font partie de nos préférés et vous enchanteront également.
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La marche par le « Surenenpass » fait transpirer les randonneurs. Mais peu après avoir attaqué la descente dans la vallée, apparaît le « Grosser Spannort » devant vous. Une montagne comme dans un conte de fées : Sauvage. Robuste. Une tour de pierre dont la présence vous attire autant qu'elle inspire le respect.
Au pied du Grosser Spannort se trouve l'une des plus belles cabanes du CAS en Suisse centrale, qui récompense ses hôtes par un panorama magnifique, surtout le soir. Comme de nombreuses montagnes suisses, le Grosser Spannort a été escaladée pour la première fois par un groupe d'alpinistes britanniques en 1867.
Il faudra presque 60 ans pour que la difficile face nord soit également maîtrisée jusqu'au sommet. Mais il n'est pas nécessaire d'être alpiniste pour profiter de la vue sur le « Grosser Spannort ». Les randonneurs qui suivent la Via Alpina passent devant cette beauté rocheuse lors de la randonnée d'Attinghausen à Engelberg.
Il y a longtemps, une fée vivait sur la rive d'un lac de la montagne Munt Pers. De temps en temps, les chasseurs racontaient cette apparition aux curieux émerveillés de la vallée. Mais une rencontre avec la fée comportait des dangers. Envoûtés par sa beauté, de nombreux alpinistes oublièrent le danger et trouvèrent ainsi la mort. Seuls quelques-uns ont survécu à une rencontre avec la fée et ont pu en parler par la suite.
Un des chasseurs, qui est mort à la recherche de la fée de la montagne, s'appelait Aratsch. Selon cette légende, le Munt Pers ("montagne des perdus") et la vallée « Morteratsch » ("mort ais Aratsch" : Aratsch est mort) ont été appelés ainsi en raison de la légende de la fée de la montagne.
Même si la fée de Munt Pers n'a pas été vue depuis longtemps, le sommet enneigé nous enchante toujours. L'une des plus belles auberges de montagne de Suisse trône juste en dessous de Munt Pers, à la station supérieure du téléphérique de Diavolezza. Ici, vous pouvez vous attendre à un panorama unique sur la chaîne de montagne de la Bernina, ainsi qu’à un lit confortable et à un coucher de soleil fantastique.
Et qui sait ? Peut-être apercevrez-vous la fée de Diavolezza lors d'une pause sur le chemin du sommet ?
Pour un spectacle impressionnant, il faut une scène appropriée. Ainsi, l'Aletschhorn a trouvé le bon endroit. Cette pyramide trône au-dessus du plus grand glacier de Suisse et offre ainsi une vue majestueuse.
Même si l'Aletschhorn est entièrement situé dans le canton du Valais, ce sommet appartient aux Alpes bernoises et est ici, avec 4'195 mètres, le deuxième sommet le plus haut. En 1859, l'Aletschhorn a été escaladé pour la première fois par Peter Bohren de Berne, en compagnie de deux guides de montagne français et d'un Anglais. Ceci est particulièrement remarquable car le sommet était à l'époque extrêmement difficile à atteindre depuis l'Oberland bernois.
Aujourd'hui, les choses sont plus faciles ici. Le sommet veille sur les randonneurs qui se trouvent sur le sentier panoramique d'Aletsch et offre un paysage fantastique avec son sommet enneigé.
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